Il n’y a pas si longtemps, beaucoup n’ont pas tardĂ© Ă  relĂ©guer Lotus Ă  la poubelle d’anciens constructeurs de voitures de sport en attente d’une mort lente. Avec une gamme vieillissante et rapidement dĂ©passĂ©e par ses rivaux, qu’est-ce que Lotus est censĂ© faire d’autre ? Eh bien, en quelques annĂ©es Ă  peine, ils ont fortement reculĂ©. D’abord avec l’Evija, une hypercar tout Ă©lectrique rĂ©volutionnaire. Puis vint l’Emira, son dernière voiture de sport ICE.

De plus, Lotus a rĂ©cemment fait des vagues avec son plan de retour. Il s’agissait notamment de travailler avec la marque française Alpine sur une future rĂ©colte de voitures de sport EV. De plus, Lotus a Ă©galement prĂ©vu de dĂ©voiler des vĂ©hicules plus familiaux, qui portent nĂ©anmoins les rĂ©fĂ©rences sportives du nom Lotus. HĂ©las, la mention d’un SUV ou crossover est incontournable de nos jours. Mais d’abord, les vieilles choses doivent mourir.

Un renouveau, des années en préparation

S’Ă©tendant sur plus de 26 ans de production, la fin de 2021 voit Lotus saluer chaleureusement le Élise, Demandes, et Évora. L’accĂ©lĂ©ration de la production de ces trois vĂ©nĂ©rables marques laissera la place Ă  la future Emira, qui devrait arriver au dĂ©but de 2022. Au total, près de 52 000 Elise, Exige et Evora ont Ă©tĂ© construits. En d’autres termes, ils reprĂ©sentent près de la moitiĂ© de chaque Lotus au cours des 73 dernières annĂ©es.

En plus de cela, 9 715 autres voitures construites sur les chaĂ®nes de montage de Lotus ont Ă©tĂ© fabriquĂ©es pour General Motors et Tesla, pour leurs propres modèles sportifs. Bien que ces partenariats aient aidĂ© Ă  consolider le compte bancaire de Lotus, je dirais que l’Elise est la raison pour laquelle Lotus d’aujourd’hui existe. Cet hĂ©ritage pionnier sera dĂ©sormais transfĂ©rĂ© Ă  son successeur, l’Emira, qui ramènera (espĂ©rons-le) Lotus au sommet.